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Quel style | Humour |
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Nombre de pages | 1 |
Coller un texte pour analyse | Je suis sur la rue Joseph Pasquier qui est une de plus petite rue. Tout au bout sort une silhouette de jeune fille bien dans sa peau qui vient vers moi. Elle est couverte d’un manteau gris et un casque de motard entrain de grignoter une pizza en marchant élégamment. Tout était beau de loin et de plus en plus en s’approchant. Bizarrement, je ne quitte pas les yeux. Royales , il se passait quelques choses en moi. Mon cœur s’est brisé, j’avais l’impression de trouver quelques choses de haute importance que j’avais perdu. Elle ignorait tout, le regard droit, elle m’a dépassée. Je me suis retourné, arrêté l’accompagner du regard, le temps de la voir monter sur une des motos sur le bord du trottoir et filer. Mon cœur battait encore plus avant la libération. Oui c’était Lucie une amie caissière qui avait quitté la place de travail et que j’avais perdue de vue, 3 ans après je la croise et je savais désormais là où elle habitait. J’étais tellement heureux que je prends le temps de l’inviter et elle ne m’a reconnu jusqu’ici. Un amour retrouvé 3 ans après. |
Alors, laissez-moi vous parler d’une petite rue, la rue Joseph Pasquier. Si petite qu’on pourrait croire que quelqu’un l’a prise par erreur pour une ruelle dans un jeu vidéo. En fait, elle a plus de virages serrés qu’un racloir dans un circuit de karting ! Mais ce jour-là, alors que je m’y baladais comme un pingouin sur la banquise, j’aperçois une silhouette au bout de la rue.
C’est une jeune fille, belle comme un matin de printemps, qui avance avec le swag d’une héroïne de film d’action – manteau gris flottant au vent, casque de motard sur la tête et, tenez-vous bien, une pizza en train de disparaître dans sa bouche comme si elle était en train de passer le test de vitesse ultime. Elle incarnait à la perfection le mélange entre une fashionista et une pro de la gastronomie rapide.
À mesure que je m’approchais, je me suis dit : "Wow, ce n’est pas le général d’Armée que je vois, c’est une vraie déesse de la rue!" En fait, j’étais tellement hypnotisé que je crois qu’un oiseau a même atterri sur ma tête, pensant que j'étais une statue. Mon cœur, lui, prenait le rythme d’un tambour de parade. À l'instant où elle est passée près de moi, j'ai ressenti comme une quête épique, comme si je retrouvais le Saint Graal. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’un calice sacré, mais d’une ancienne amie dont le nom me revenait en mémoire comme un vieux souvenir de collègue qu’on avait oublié dans une boîte à chaussures.
Elle ne m’a même pas remarqué, l’abeille des temps modernes, les yeux fixés droit devant comme si elle était en mode « n’interrompez pas l’artiste ». Je l’ai suivie du regard telle une paparazzi traquant une célébrité. Chaque pas qu’elle faisait était un appel à la danse du cœur. Et au moment où elle a grimpé sur sa moto stationnée sur le trottoir, j’ai eu l’impression que le temps se figeait, le cœur battant la chamade comme si j'étais au concert de ma vie.
Et là, BAM ! Révélation. C’était Lucie, ma caissière préférée, la fille qui avait disparu de ma vie comme un bonbon dans la poche d’un enfant – et cela faisait trois ans que je cherchais à comprendre où elle était passée. En gros, c’était un peu comme retrouver un jouet que l’on croyait perdu pour toujours entre les coussins du canapé.
J’étais si ravi que j’ai presque décidé de sortir mon téléphone pour lui envoyer une invitation à un pique-nique. Mais attendu, elle ne m’a même pas reconnu. La situation se teintait d’un air dramatique, comme si Shakespeare himself écrivait pour moi. Qui aurait cru qu’un amour perdu pouvait se dévoiler ainsi trois ans plus tard dans un décor de deuxième zone ?
Donc, amis lecteurs, si jamais vous croisez quelqu’un dans une rue perdue – même si c’est juste en train de dévorer une pizza – souvenez-vous, cela pourrait être la rencontre de votre vie, ou tout simplement un moment cocasse à raconter lors de vos prochaines aventures. Allez, hauts les cœurs, et la prochaine fois, prenez un plat à emporter à partager ! 🍕❤️